Le plaisir retrouvé de se lever chaque matin... Coach Emploi


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L'importance du plan B

La pression de l'objectif

"Je ne m'autorise pas d'autres horizons que celui que je me suis fixé, il est vital pour moi d'atteindre mon objectif…"

Voilà ce que j'appelle se mettre la pression ! Entre nous, je ne suis pas convaincu de l'efficacité d'un tel discours que je crois profondément déséquilibrant et source infinie de frustration, surtout si tout ne se passe pas comme prévu. Je crois davantage aux vertus du Plan B, quitte à décevoir les adeptes de la loi de l'attraction, de la pensée positive et de l'optimisme à tous crins. 

La réalisation d'un objectif ambitieux nécessite de mettre en place une série de remparts destinés à rendre vos avancées plus conformes à la réalité et à vos capacités. Cela revient à créer sa propre stratégie dans laquelle, les hypothèses de contretemps, d'échecs, de difficultés seront intégrées ou envisagées… pour ne pas tomber de trop haut quand (et j'élimine le "si") elles se présenteront.

J'ai en tête l'exemple d'entrepreneurs qui débutent une activité avec passion et enthousiasme et qui, douloureusement, se réveillent un jour en constatant que les objectifs (financiers et commerciaux surtout) qu'ils se sont fixés en adoptant la positive attitude et le renoncement à toute forme d'échec, les mènent droit dans le mur… Ils n'avaient à aucun moment envisagé que les choses puissent tourner différemment que ce que leur impose l'optimisme… pour finalement renoncer à poursuivre leur ambition.

Que se passe t-il si mon plan A ne fonctionne pas ? Qu'est-ce qui pourrait alors constituer une bonne sortie ?
L'importance du plan B

Je ne suis pas Steve Jobs

Tout d'abord, rappelons que l'immense majorité des entreprises qui se créent ne s'appellent pas Apple ou Instagram. Pourquoi cette précision ? Parce que je rencontre trop de créateurs  dont le véritable objectif est une vie facile, si possible rapidement, "dès que tout tournera correctement, je lèverai le pied".  D'autres encore sont tellement figés dans les clichés véhiculés par les médias qu'ils en oublient les facettes moins glorieuses. Après tout, notre modèle à tous,  Steve Jobs est à l'entreprise ce que Rocco Siffredi est à la relation amoureuse..
L'idée de ce succès presque immédiat, facile, est une chimère qui déforme complètement nos esprits et nous entretient dans un rapport schizophrène, notamment lorsque, en dépit des résultats les plus alarmants, nous maintenons une inconscience douce nommée optimisme ou pensée positive. 
Le succès n'est rien d'autre qu'une conséquence possible, la conséquence d'efforts, d'actions massives - le point commun entre tous les entrepreneurs à succès n'est pas l'optimisme mais la capacité de travailler plus que d'autres - entrepris dans le réalisme pur des fins de mois difficiles, notamment lorsque l'activité peine à progresser.

Absence de perspectives

L'absence de plan B a un effet dévastateur, il fige notre cerveau dans un schéma unique et il restreint notre capacité à élargir nos horizons en nous ouvrant aux idées du monde entier. A trop savoir ce que l'on veut, nous formatons notre attention sur une hypothèse sans embrasser l'ensemble des options et possibilités qui nous sont offertes.
Se concentrer sur un seul objectif est bien entendu utile, mais gare aux premières déceptions et à l'absence de réactions envisageables faute de détermination et d'ouverture aux autres mondes, ceux qui n'appartiennent pas au spectre de l'objectif.

La personne qui lance son activité traverse plusieurs âges, au fil des années, elle construit son apprentissage en s'ouvrant totalement à ce qui l'entoure, en absorbant ce qui pourrait lui être utile, en ouvrant au maximum ses capteurs, en misant sur sa progression. Avant d'entrer dans l'âge de la maturité, elle découvrira l'énergie de l'enfance ou de l'adolescence, mais cet âge est également celui de la modestie, celui de l'absence de toute suffisance adulte, de toute déformation stérile et nuisible, un âge de dépendance aussi, une dépendance à l'échange avec les autres… et pour cela, ne pas avoir les idées arrêtées est une excellente méthode !

Une entreprise dont le succès semble immédiat (c'est en tout cas la façon dont l'entreprise a choisi de communiquer) a toujours son petit secret, cette partie que le grand public ne connait pas (les insomnies de l'entrepreneur, une aide financière conséquente de la famille par exemple, une idée empruntée, des relations complexes, une communication basée sur le fantasme…). 
Les autres construisent leur succès :


Le plan B ouvre des perspectives nouvelles

Le plan B, vous l'avez compris est l'élément qui permet en toute circonstance de rester en mouvement pour atteindre un objectif d'accomplissement, de réalisation de soi. Il prend en compte la réalité d'une activité, la possibilité d'un échec ou d'un "plan A" mal ficelé.

  1. Ce plan B est très simple à envisager, il s'agit de répondre seulement aux deux questions suivantes : Que se passe t-il si mon plan A ne fonctionne pas ?
  2.  Qu'est-ce qui pourrait alors constituer une bonne sortie ?

Le plan B est l'un des meilleurs remèdes contre l'insomnie et le mal-être permanent (qui peut aussi s'appréhender au travers de séances d'hypnose), celui dont vous n'entendez jamais parler sur les réseaux sociaux

Lire aussi :

La santé de l'entreprise passe d'abord par celle se son dirigeant

Je viens d'apprendre une triste nouvelle, le décès d'un dirigeant d'une petite entreprise dans un accident de la circulation, entraînant par la même occasion la fermeture inéluctable de la société et le licenciement d'une quinzaine de personnes. Pas très gai tout cela. 

Pourquoi cette introduction ? Parce que je trouve que les responsables d'entreprise, notamment les plus petites, font preuve d'irresponsabilité en jouant à ce point avec leur santé, leur énergie, engageant un véritable bras de fer avec leurs limites physiques et morales. Beaucoup de mes clients sont des personnes qui "n'ont pas le temps", qui courent constamment, écrasés par la charge de leur activité, l'engagement disproportionné qu'ils investissent dans leur entreprise. Aucun répit, une galopade constante les éloignant de toute baisse de rythme, des réponses aux mails le soir, des rendez-vous organisés par leurs assistants, la gestion du personnel, l'inquiétude du carnet de commandes s'effritant dangereusement, la volonté de transmettre un patrimoine réduit au fond de commerce chancelant… Le poids de la responsabilité solitaire parfois difficile à assumer. 

mise en danger de l'entreprise par la mauvaise santé de son dirigeant


Henry Ford affirmait que les deux choses les plus importantes n'apparaissent pas au bilan de l'entreprise : sa réputation et ses hommes, j'ajouterais qu'une troisième est primordiale : la santé de son dirigeant dont dépend directement sa pérennité et son avenir. Pourtant, nous connaissons tous ces responsables qui, tard le soir, règlent les affaires courantes de la société, emportent avec eux leur lot d'insomnie, de stress, négligeant les examens de santé, organisant des traversées de l'hexagone durant la nuit pour optimiser leur journée, nous connaissons tous ces managers qui préfèrent avaler un sandwich en voiture, ingurgitant des hectolitres de café… Ceux qui tous les matins campent à Orly pour prendre le premier avion..
On s'intéresse beaucoup, à juste titre, à la santé des salariés, leurs conditions de travail, leur état général, je constate au quotidien, que peu s'intéressent à la santé des dirigeants d'entreprise, notamment celles qui comptent peu de salariés.

Les bourreaux de travail nuisent à la santé de l'entreprise mais les dirigeants qui tirent sur leurs limites physiques et psychiques mettent carrément la survie de leur société dans la balance. Un pépin de santé et l'entreprise ferme. Sous cet angle, vous serez peut-être d'accord avec moi pour reconnaître que le capital le plus important de cette dernière devient donc la santé de son dirigeant.

Coach emploi, je travaille au quotidien avec des responsables d'entreprises dont le principal leitmotiv de nos premiers entretiens est "je n'ai pas le choix". Au cours de nos échanges, ils acceptent de poser leur cuirasse pour prendre un peu de recul et reconsidérer leur rythme, leur santé, leurs relations aux autres, leur relation au travail, au sens de la responsabilité, ils déterminent souvent qu'une existence d'autres choix est envisageable… mais surtout, ils apprennent à apprécier leur relation à eux-même, acceptant l'idée de poser quelques limites personnelles pour renouveler une énergie non durable. Un coach, ça sert aussi à faciliter cette prise de distance. Vous sentez-vous concerné par ce rythme incontrôlable ? Faites rapidement un point, il se peut qu'au delà de votre santé, vous ne mettiez irrémédiablement votre entreprise en danger. 

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Croyez en vos projets, aussi fous soient-ils !

Vous n'en n'avez pas marre d'entendre à longueur de journée des radoteurs qui pensent que quoi que vous entreprendrez, cela ne marchera pas parce que… (et là, tout ce qui suit est entouré de guillemets !)
"
  1. c'est la crise,
  2. c'est difficile,
  3. la France ne donne pas envie,
  4. faut pas rêver,
  5. on ne vit pas dans le monde des bisounours,
  6. à quoi bon,
  7. vivement la retraite,
  8. de toute façon, tous pourris…,
  9. oui, mais avec quel argent ?,
  10. c'était mieux avant,
  11. sur 1000 qui se lancent, une seule personne réussit,
  12. tout est compliqué en France,
  13. personne ne m'a jamais tendu la main, alors…,
  14. il faut le bon diplôme,
  15. si tu n'appartiens pas au bon réseau, tu n'as aucune chance,
  16. commence par boucler ton business plan,
  17. passe ton bac d'abord,
  18. ok, mais trouve quelque chose de sérieux à côté,
  19. si je ne l'ai pas fait avant toi, c'est que j'ai eu une bonne raison,
  20. mets tout ce que tu peux à l'abri,
  21. t'y connais rien,
  22. quel retour sur investissement ?,
  23. investis plutôt dans le big data,
  24. toi entrepreneur ?
  25. y'a pas de marché pour ça,
  26. si ton idée était si géniale, je peux t'assurer qu'un petit malin l'aurait déjà exploitée,
  27. ça existe déjà, depuis longtemps en plus,
  28. les charges sont trop importantes pour se développer,
  29. t'as jamais rien fait !,
  30. trouve toi plutôt un job pépère,
  31. commence par suivre un mooc !
  32. t'es sûr que les banques vont suivre ?,
  33. je ferais surtout pas cela à ta place,
  34. tu ne trouves pas que c'est déjà suffisamment compliqué ?,
"

mener son projet malgré les obstacles

J'en passe et des meilleures ! Et bien à tous ceux qui portent ce genre de commentaire, ne leur répondez rien, tournez leur le dos et continuer de croire en votre projet, en votre potentiel. Personne ne sait mieux que vous ce qui est bon pour vous, ne laissez aucun grincheux vous définir, vous placer dans une case étriquée, ne laissez aucun test, aussi futé ( pardon, 2.0) soit-il, décider de ce que vous êtes… Vous valez mieux qu'une définition, vous êtes inestimable !

Tout projet est une graine de Développement, de Développement économique bien sûr, mais surtout de Développement social, personnel et collectif, un Développement avec un grand D, dans toutes les directions, même celles qui vous sont les plus intimes. Écoutez votre petite voix, faites cesser le brouhaha des emmerdeurs en les évitant, en les ignorant pour conserver toute votre énergie, et la dépenser là où elle vous fait du bien. Soyez acteur, entrepreneur mais refusez de subir, d'obéir aux règles désuètes qui ne mènent qu'à la sécheresse de nos yeux brillants et pétillants.

Les démarches innovantes, audacieuses, personnelles sont un trésor national, celui que nous lèguerons aux générations futures, celui qui marquera un avant et un après. 
Vous manquez de courage ? Tant mieux parce que vous vous souviendrez d'autant plus facilement qu'il est souvent plus courageux de vivre une vie qui ne vous convient pas que d'entreprendre celle que vous rêvez de vivre
Il ne s'agit pas de montrer l'exemple, mais davantage d'arrêter de calculer, de décortiquer, d'agiter le réalisme comme prétexte à la tranquillité et à la frustration, de se réfugier dans le cynisme qui porte en lui les stigmates de l'ennui. 
Qui peut aujourd'hui donner une leçon sur votre potentiel quand on sait que les deux tiers des emplois de demain, n'existent pas encore
Le réalisme ne tient pas compte de votre génie, ni de votre potentiel, ni de vos talents, ni votre enthousiasme. En cela, il mérite d'être descendu de son piédestal, au moins d'un étage.. pour laisser la place à votre projet, à ce que vous pensez bon pour vous et les autres. Prêt à tenter l'aventure ? Haut Les Coeurs !… comme on dit du côté de chez moi…

* Je dédie ce billet à tous les Zèbres qui se reconnaitront. 

Credit photo markuso / FreeDigitalPhotos.net

Savoir abandonner une mauvaise stratégie

Chers managers, ne cherchez plus à accomplir de miracles ! Ôtez rapidement votre tenue de super-héros  et sachez ne pas persister dans l'accomplissement d'une tâche dont vous ne mesurez pas l'ampleur des efforts. 

N'avez-vous jamais eu tendance, de temps en temps, à vous obstiner, furieusement, encore et encore, en dépit du bon sens, vous sentant éternellement "juste sur le point de", que dis-je, vous sentant "à deux doigts" (dixit Michel Sapin) du Saint Graal… Vous vous transformez alors en super héros, espèce disparue de votre entreprise, acceptant avec fierté et dignité (?) de continuer, longuement, péniblement de vous rapprocher d'un objectif improbable.

Shopping - Andreas Englund

Seulement voilà, le vrai talent consiste parfois à relever la tête pour constater avec discernement et objectivité que… vous n'y arriverez pas de la façon dont vous l'aviez initialement prévue. Mince alors, que la honte plane éternellement sur vos épaules. Vous le saviez et vous avez préféré vous obstiner en vous détournant de toute lucidité. Abandonner une stratégie est, de temps en temps, la meilleure des décisions que vous puissiez prendre. En soi, aucune idée, aucun objectif n'est absurde. Seule la stratégie est adaptée ou non. Or lorsqu'un objectif semble désespérément inabordable, je conseille souvent de réviser les fondements de votre stratégie, peut-être que le chemin emprunté n'est pas le bon. 

Abandonner n'est pas le signe d'une faute inexcusable. Elle est la preuve d'une intégrité, celle d'une efficacité dédiée au résultat et à l'avancée, davantage qu'à l'effort et à l'invariance du résultat. L'erreur n'est pas dans le choix d'une mauvaise stratégie ou d'une mise en mouvement inefficace, l'erreur n'est pas d'avoir testé telle voie, mais davantage dans le fait de s'entêter à produire une action sans jamais en mesurer la portée, sans jamais s'offrir le temps d'une pause destinée à garder le discernement nécessaire. 

Uns stratégie efficace consiste alors à se doter de moyens de mesures, de "balises", d'étapes clés qui montreront l'avancée des travaux et provoqueront le mouvement et la mise en route d'actions réfléchies. Lorsque je choisis d'emprunter tel chemin ou d'accomplir telle stratégie, je dois systématiquement concevoir des paramètres qui me montreront que je suis sur la bonne voie
A quels critères, serai-je certain d'avancer comme je le souhaite ? Pas banal comme question ! Pourtant, à bien y regarder, nous sommes très souvent condamnés à nous casser les dents sur une stratégie mal adaptée parce que l'on ne prend pas suffisamment le temps de la décortiquer en étapes clés, en une succession de passages obligés qui, eux, chaque fois qu'ils seront franchis, nous montreront sans faiblir que nous avons raison de produire nos efforts.

Ne copiez pas vos concurrents !

Êtes vous un visionnaire ou un suiveur ? Passez-vous plus de temps à observer vos concurrents qu'à développer vos propres concepts ? j'entends très souvent certains managers ou dirigeants défendre l'idée qu'une connaissance parfaite de son environnement, notamment concurrentiel est l'un des éléments décisifs permettant à une offre d'exister ou de se déployer convenablement.

Ne copiez pas vos concurrents


Je comprends le concept... je ne le partage pas un seul instant. Se concentrer sur ses concurrents dilue notre propre capacité à la créativité, à respecter un ton, un style unique marquant la différence entre vous... et les autres.

La fraîcheur d'un concept, d'un service, novateur, "à part" reste l'atout marketing N°1, la surprise créée par une approche unique et novatrice. Être un suiveur ou s'inspirer largement de ce que qu'ont imaginé vos concurrents ne vous fera jamais rentrer dans les mémoires, et encore moins dans la légende. Définir son concept par rapport à la concurrence revient à se placer en situation de dépendance, vous ne maîtrisez pas la stratégie puisqu'elle est calquée sur les actions ou mouvements de ceux qui font le marché. Désirez-vous maîtriser votre concept ? Cette question n'est pas anodine, il est bon parfois de s'inspirer de ce qui fonctionne, non pas pour le recopier mais davantage pour observer le mode opératoire, les conditions ou ingrédients qui ont favorisé un succès ou un échec. 

Copier est simple, comprendre un cheminement est plus complexe. Question d'aptitude et de talent sans doute. C'est la différence entre celui qui choisit son cap et celui qui suit le vent
Dans le rapport à la concurrence est souvent mentionné le terme "combat". Êtes-vous réellement en combat ? Déployez vous votre énergie CONTRE vos concurrents ? Ne préfèreriez-vous pas l'utiliser POUR votre propre bien en créant et testant de nouveaux concepts que d'autres suivront sans aucun doute un jour ou l'autre ? Même si tout ne fonctionne pas comme vous le souhaitez, il est toujours préférable d'échouer en ayant testé son propre chemin plutôt qu'en constatant amèrement que ce qui a fonctionné chez d'autres et avant, n'est pas approprié chez vous.


Vos concurrents sont magiques et ont TOUT développé : offrez alors du simple, droit au but sans vous préoccuper de toutes les offres (si nombreuses) que l'on retrouve dans votre secteur d'activité. Concentrez vous sur le coeur de métier davantage que sur ses extras qui parasitent totalement la compréhension d'une offre. Bref, démarquez vous, ayez confiance en vos idées et faites bien ce que vous avez à faire, le reste suivra (y compris vos concurrents). On en parle ? N'hésitez pas à me contacter.

Pratiques de coaching et supervision

"Dans la famille des séminaires de la parenthèse espagnole, je voudrais la supervision et l'échange de pratiques de coaching !
C'est bon, j'ai !"

J'ai conçu un séminaire d'échanges de pratiques professionnelles, de formation et de supervision, pour tous les professionnels de l'accompagnement de la personne. Je m'adresse exclusivement à ceux qui se sont engagés dans un processus d'élargissement de leurs compétences et d'exploration de leur pratique.

Pour faire simple, la mise en place d'une supervision est un engagement majeur du coach dans son activité, lui permettant ainsi de garantir sa neutralité, d'assurer une posture bienveillante pour le client, de renforcer ses connaissances, mettre à jour ses pratiques et favoriser la concrétisation de ses propres projets professionnels.

Ainsi, je vous propose une semaine de travail ébouriffant pour  :

  • établir un bilan de votre activité, 
  • affiner votre positionnement, 
  • réviser ou améliorer votre communication, 
  • consolider ou développer votre visibilité (réseaux sociaux, brochures…)
  • renforcer la pratique de certains outils de coaching, d'hypnose et de PNL
  • mettre à plat le déroulé de vos séances, 
  • construire un plan d'actions destinées au développement de votre activité...
… mais également pour bénéficier d'une supervision personnelle et préparée en amont du séminaire, une supervision au cours de laquelle nous aborderons  tout sujet que vous estimez important mais aussi votre communication commerciale, la mise à jour de vos connaissances, les cas spécifiques issus de vos séances professionnelles, le respect de vos valeurs, la clarté de votre positionnement, vos actions de développement…

La convivialité est l'élément moteur de nos rencontres, le climat (doux, sec et méditerranéen) participe largement à la bonne humeur, à la mise en mouvement et à la (re)connection à soi… Je me réjouis de vous rencontrer.
A bientôt !

Construire sa démarche commerciale autour de ses valeurs et atouts

L'une des grandes difficultés auxquelles il nous arrive d'être confronté dans la réalisation de nos projets professionnels, c'est la suradaptation. Nous nous adaptons à toutes les circonstances, usant une énergie considérable à trouver des stratégies, des "parades" nous permettant de coller ou de correspondre à quelque chose qui ne ressemble décidément plus beaucoup à notre projet professionnel initial. Nous sommes devenus des bêtes de l'adaptation, reniant par la même occasion ce qui alimentait la petite flamme de l'envie, de la motivation ou de l'enthousiasme...
A répondre à toutes les attentes, le message véhiculé se dilue, se perd, entraînant une belle confusion chez ceux qui le recevront.



Ne serait-il pas temps de valoriser vos aptitudes, talents, compétences pour les proposer à ceux qui sauront les percevoir ? A ceux qui les recherchent aussi ? Il est souvent illusoire de penser que votre offre ou votre proposition plaira au monde entier. En revanche, s'interroger sur les valeurs qui vous animent, ce que vous faîtes parce que cela va de soi, parce que c'est plus fort que vous, représente votre meilleur argumentaire, notamment dans l'approche commerciale ou la conquête de marchés. Vous atteindrez les clients qui sont réceptifs à votre message, ils y seront d'autant plus réceptifs que vous ferez preuve d'authenticité dans la revendication de vos compétences.

Assumez vos atouts ! Pensez, imaginez votre proposition ou votre projet professionnel autour de cet axe, rien d'autre ! Vous avez développé une aptitude ? Assumez la et valorisez son application auprès de votre clientèle... Un exemple, je travaille actuellement avec un client dont l'une des valeurs "phare" est la transmission. Il est réellement doué dans la pédagogie et l'explication simple de situation complexe (il est médiateur familial spécialisé autour des thèmes de l'adolescence). Cet atout qu'il concentre dans son activité devient aujourd'hui son premier argument commercial puisqu'il a réalisé une série de tutoriels vidéos très ludiques destinés à clarifier son approche et les situations rencontrées dans sa pratique. D'une compétence de réalisation, il en a fait un thème de communication, d'argumentation singulière attirant les clients qui sont sensibles à cette approche.

Autour de quelle valeur pourriez-vous construire - concrètement - votre approche commerciale ? N'hésitez pas à me contacter, pour tout accompagnement dans la réalisation d'une activité qui vous ressemble, nous pourrons en quelques heures de travail différencier votre modèle et rendre opérationnelle votre démarche de développement. Haut les coeurs !!!