Conjuguez vos efforts -1
HEC avant tout !
Une brève histoire de l'avenir*
Revue de presse
HLC par ailleurs...
Comment faire son CV ? Comment rédiger sa lettre de motivation ?
Répondre à une attaque
Se différencier par le CV
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A méditer
J'ai toujours fait comme ça !
Le portage salarial
09h38 : Je vous remercie d'avoir répondu si nombreux à cette opération de mécénat, les cinq personnes se sont manifestées très rapidement. Bonne journée ! Pierre.
A quoi sert le CV ?
La première bonne impression
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A méditer
La difficulté majeure ?
Entretien version Aïkido
Une astuce de poids aujourd'hui ! Une astuce qui m'a été soufflée par mon ami Serge et qui devrait permettre de rendre le cabinet de recrutement moins intimidant et pourquoi pas, osons le terme, le désacraliser... Ça y est, vous dites-vous, il a viré sa cuti et se lance dans la critique systématique du recruteur. Mais non ! Au contraire, je vais le rendre plus accessible, moins terrifiant ou inquiétant - selon votre sensibilité.
Avez-vous conscience que ce fameux recruteur a une double casquette? Il est d'abord celui qui vous posera des questions formelles, relatives à votre personnalité, votre parcours, cursus... ne le considérez surtout pas comme un obstacle à passer mais davantage comme un filtre au travers duquel vous aurez l'occasion d'exprimer ce que vous êtes.
Mais là – entre autre – où Serge est génial, c'est quand il me fait remarquer que de « filtre», le cabinet de recrutement devient par la suite votre meilleur allié, notamment en phase II du recrutement, c'est-à-dire lorsque vous serez présenté aux décideurs de l'entreprise. Et là, forcément, ça change tout !
Cette nouvelle approche devrait modifier votre regard sur l'entretien de recrutement, vous ne partirez plus en guerre ou en lutte mais garderez toujours à l'esprit que votre interlocuteur est potentiellement votre meilleur ambassadeur, surtout auprès de celui qui prendra la décision finale.
L'idée n'est alors plus à l'affrontement mais au contraire à l'accompagnement... un peu comme de l'Aïkido, se servir de la force de celui qui est en face pour décupler la sienne. Pas simple ? C'est une question de perspective et d'approche, l'entretien est inévitable mais peut se présenter sous plusieurs aspects. Celui-ci me semble être l'un des plus favorables et constructifs.
Suivre les procédures
AAAaaa! Deudeudeudeudeu...
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C'est comme ça et pas autrement !
Vous m'intéressez !
Vous serez très certainement amené à vous exprimer sur le pourquoi du comment, et notamment sur les raisons pour lesquelles vous avez répondu à une offre d'emploi, manifestant par la même occasion votre volonté de rejoindre l'entreprise.
Si l'on considère que le recrutement est un « mariage » entre un candidat et son employeur, vous devez préparer un argumentaire sur votre intérêt pour l'entreprise. Pour cela une seule solution : vous documenter, vous renseigner sur l'environnement de l'entreprise. Internet semble être une source inépuisable d'informations. Travaillez les points valorisants que vous aurez récupérés, la notoriété de l'entreprise, sa politique, ses valeurs, ses dirigeants, son secteur d'activité. Montrez que vous n'êtes pas devant le recruteur par hasard...
Inutile de mentionner que vous êtes prêt à accepter n'importe quel poste, que vous avez envoyé 1000 candidatures, vous basant sur une liste récupérée dans un magazine économique. Faites ressortir vos choix, vous êtes une personne qui prend son destin en main ! Bon sang !
Vous l'aurez compris, la question centrale tourne autour de votre profonde motivation, « êtes-vous réellement partant pour travailler avec nous, pour occuper ce poste ou souhaitez-vous simplement un job... ».
Je suis toujours gêné par ces questions de motivation, partant du principe que le premier objectif du demandeur d'emploi est de réintégrer rapidement un poste, sa motivation consistant à relever la tête, pour lui-même et pour les siens. Néanmoins, cerner les affinités du candidat pour l'entreprise semble être un exercice incontournable, alors, creusez, cherchez, il y a forcément des points d'appui dans la somme d'informations que vous recueillerez sur lesquels vous bâtirez un argumentaire positif.
Quel numéro !
Faisons preuve d'imagination et mettons nous à la place du celui qui doit vous contacter : quel numéro faut-ilcomposer pour espérer vous joindre ? Moi, je parie qu'il va composer le premier numéro (100% de chances que ce soit votre téléphone fixe). Évidemment, vous êtes en entretien de recrutement et donc absent de votre domicile... "pas grave ! " se dit-il, "je ne laisse pas de message, je vais l'appeler sur son autre numéro !".
Ben oui, c'est simple... sauf qu'à l'instant où il s'apprête à composer votre numéro, un intrus pénètre dans son bureau et l'interrompt... on connaît l'histoire, il y a de fortes probabilités pour que vous ne soyez jamais contacté, le recruteur se remettant à l'ouvrage en se penchant sur le CV suivant. Bon, allez, même si je force le trait, je vous conseille de maîtriser la réception des appels, en toute circonstance. Comment ? En ne mentionnant qu'un seul numéro (j'ai tendance à conseiller le portable), celui-là même qui sera connecté à un répondeur, forçant l'appelant à laisser un message.
Par ailleurs, si vous postulez en France, inutile d'écrire + 33 (0) 6 75... allez à l'essentiel, mentionnez strictement le numéro à composer. Enfin, prévoyez un espace tous les deux chiffres, cela donnera davantage de lisibilité et évitera à celui qui compose les chiffres de s'y reprendre à trois ou quatre fois !
Des bâtons dans les roues
N’avez-vous jamais dit ou pensé : «J’vois pas c’qu’y a d’extraordinaire dans c’que j’ai fait ! » - notez que la contraction des mots exprime une certaine lassitude ! – ou bien « J’sais pas parler de moi, j’sais pas me mettre en avant ! », ou encore « J’vais encore m’emmêler les pinceaux », « S’il me pose cette question, j’suis cuit ! », « j’ai aucune chance, y’a tellement de candidats au profil incroyable… ». Bref, j’en passe et des meilleurs !
A ce stade, vous n’avez toujours pas rencontré le recruteur ! Croyez en vous, soyez honnête avec vous même, ne considérez aucune de vos expériences comme normale ou ordinaire. Ayez l’objectivité de reconnaître et apprécier votre parcours. Ne pensez pas « j’ai vendu des produits à des clients, et après ! », apprenez à voir les choses sous un nouvel angle : « j’ai développé un portefeuille de clients en valorisant l’offre commerciale de mon entreprise, maîtrisant le process de vente, j’ai conquis et fidélisé une clientèle présente sur plusieurs circuits de distribution ».